Lanester. Le Cyberlan fabrique un pince-nez anti-buée pour masque Marre de la buée sur les lunettes à cause du masque? Le Cyberlan, l'espace multimédia de Lanester (56), a trouvé la parade en confectionnant un pince-nez en impression 3D, qui s'adapte à tous les masques. Publié le 16 octobre 2020 à 16h55 Qui n'a pas eu de la buée sur ses verres de lunettes à cause d'un masque? Stéphane Leblanc, du Cyberlan, en a lui-même fait l'expérience. Passionné des accessoires en impression 3D, l'animateur de l'espace multimédia de Lanester (56) a trouvé la parade. « Je fais beaucoup de veille à la recherche de nouvelles idées et j'ai vu sur un site internet américain cet objet anti-buée qui s'adapte sur tous les masques. Pince nez anti buée corona. J'ai trouvé bizarre que personne n'en parle ». Huit minutes de fabrication Ni une, ni deux, l'animateur depuis 20 ans de la structure municipale récupère le programme - libre de droit - de l'accessoire et teste sa fabrication. En huit minutes, l'une des deux imprimantes 3D du Cyberlan fabrique le fameux pince-nez, à base de plastique biosourcé.

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Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire. Gérer mes choix Le masque se retrouve plaqué sur le visage. L'air est dévié et ne remonte plus le long des narines. Gérald Defoing en imprime une centaine pour sa famille, ses proches, ses collègues et les employés de la crèche fréquentée par ses enfants. Pince nez anti buée italian. Puis il met le modèle à disposition du grand public, librement et gratuitement. Une forte demande Le succès est immédiat. La nouvelle est très partagée et plusieurs médias en ligne lui consacre un article. Débordé par les demandes, Gérald Defoing n'a pas du tout l'intention de lancer une production commerciale à grande échelle. Il a créé un site internet,, pour que les personnes intéressées trouvent un maker, c'est-à-dire quelqu'un qui dispose d'une imprimante 3D et se propose de fabriquer des pince-nez.

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Une fois installé sur un masque, on constate tout de suite la différence. L'objet laisse passer plus facilement l'air entre le nez et le masque et permet d'éviter l'apparition de buée. Seul petit bémol, la rigidité de l'objet qui peut créer une gêne sur le nez. Des ateliers pour s'initier à l'impression 3D S'il n'a pas vocation à le commercialiser, le Cyberlan veut montrer que tout le monde peut réaliser ce type d'objet. L'espace multimédia va ainsi proposer des ateliers, en novembre (*), pour s'initier à la modélisation et l'impression 3D, avec l'exemple de la fabrication de ce fameux pince-nez. Lorient - À Lanester, le Cyberlan fabrique un pince-nez antibuée pour masque - Le Télégramme. « L'idée est de faire du lien social et que les gens viennent apprendre le principe de l'impression 3D, en étant consom'acteur. L'animateur n'est pas là pour faire les choses à la place des personnes mais pour les accompagner », explique Françoise Dumont, adjointe au maire de Lanester, chargée de la participation associative et citoyenne. Un groupe de makers Hébergé dans la maison de quartier L'Eskale, le Cyberlan a intégré récemment un groupe de makers 3D, où tout le mode se partage informations et conseils.

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Tech & Net Gérald Defoing a élaboré un simple dispositif qu'on peut produire soi-même grâce à une imprimante 3D, explique France Bleu. Le pince-nez de Gérald Defoing s'imprime en 3D. (Illustration) © ERIC LALMAND / BELGA MAG / BELGA via AFP Aux petites irritations que peut engendrer le port du masque, les porteurs de lunettes doivent souvent ajouter l'apparition de buée dans leur champ visuel. Mais ça, c'était avant qu'un Ardennais inventif ne se penche sur le problème, relate France Bleu. Gérald Defoing, cadre chez Orange, a d'abord essayé d'appliquer à ses verres des produits antibuée. Pince nez anti buée misty. « Mais ça ne fonctionne pas tout le temps. Dès qu'il pleut, c'est le bazar, et il faut en remettre souvent », explique-t-il à la radio publique. Alors, il se penche sur les solutions de fortune déjà expérimentées par d'autres, comme l'usage de trombones ou de pansements pour venir pincer le masque par-dessus le nez. Un dispositif à imprimer soi-même L'inventeur amateur, lui, veut rendre ce système plus pratique.

Outre le produit, ce qui fait la force de la société c'est son rendement. Les 40 machines permettent de couler une quantité impressionnante par jour. Les pièces sont emballées presqu'au même rythme. Les pince-nez sont vendus 0, 70 cent pièce, 5 euro pour 10 unités. Un accessoire qui devrait résister jusqu'à la fin de la crise. Sophie Driesen