"On s'entend super bien. C'est une très bonne amie, même si ça peut choquer des gens et je ne comprends pas pourquoi", a-t-il assuré. Article écrit en collaboration avec 6Medias. L'article parle de... Ça va vous intéresser News sur Bastien - Koh-Lanta, Le totem maudit La suite sous cette publicité

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C'est une affaire révélée par RTL: la mise en examen de Jacques Bouthier, la patron d'Assu 2000 pour viols sur mineurs et traite d'êtres humains. RTL a pu s'entretenir avec la propriétaire de l'appartement dans lequel l'une des victimes dit avoir été retenue captive et violée par le PDG. Cette femme tient à conserver l'anonymat total. Elle explique qu'il y a un an et demi, un intermédiaire lui a demandé de sous louer son appartement vacant pour une jeune marocaine. Elle accepte, la locataire en question est la future plaignante. Elle s'installe dans ce petit 30 mètres carrés du Val-de-Marne à l'est de Paris. Grand-messe du principal lobby pro-armes en pleine polémique après la fusillade au Texas. En échange, la propriétaire perçoit tous les mois un loyer de 800 euros, payé en liquide des mains de la jeune femme. La propriétaire l'assure, elle n'a jamais rencontré Jacques Bouthier. Elle décrit sa locataire comme une personne souvent triste, à qui il arrivait de s'absenter pendant plusieurs jours. Il y a 3 mois, la jeune femme l'a appelée pour lui dire qu'elle ne viendrait plus à l'appartement, qu'elle allait déposer plainte contre Bouthier puis disparaitre.

Selon une vidéo et de nombreux témoignages, des parents ont attendu devant l'école, pendant une éternité selon eux, sans que la police n'intervienne, alors que le lycéen, Salvador Ramos, était en train de perpétrer son massacre dans une salle de classe. "Environ une heure" après que ce dernier fut entré dans l'école, des unités de la police aux frontières américaine sont arrivées, "sont entrées dans l'école et ont tué le suspect", a dit Victor Escalon, le directeur régional du département de la Sécurité du Texas. Face à la presse en nombre et à la douleur des familles, il a répété qu'il y avait "beaucoup d'information, de nombreux points fluctuants" dans l'enquête. "Cela prend des jours, des heures, cela prend du temps". Il a indiqué que, contrairement à ce qui avait été mentionné auparavant, l'auteur de la tuerie n'avait "fait face à personne", à aucun policier, avant de s'introduire dans l'école. Avant d'y entrer, a souligné M. Escalon, il a tiré sur l'école. Film l exchange en replay le. "Quatre minutes plus tard", les premiers policiers locaux sont arrivés sur place.