» (Source: Christian Vandendorpe, Du papyrus à l'hypertexte. Essai sur les mutations du texte et de la lecture, Montréal, Boréal, 1999, 271 p., p. 15. ) X. FABLIAU «Des III dames qui trouvèrent un vit» «Je mets ma peine et ma finesse, Tant que je suis en ma jeunesse, À conter un fabliau en rime, Sans effets et sans léonines. Mais s'il y a des assonances, Peu m'en chaut qui mal en pense. Car elle ne peut pas plaire à tous, Une bonne rime sans bons mots. Écoutez-les, donc, comme ils sont. Trois dames allaient au Mont, Mais je ne sais de quel pays. Il me semble que l'on me dit Qu'elles trouvèrent un vit très gros Et deux couilles, sans aucun os. Chanson les menot film. Celle qui est devant le prend, Le cachant immédiatement, Car elle savait ce que c'était. […]» (Source: Contes pour rire. Fabliaux des XIIIe et XIVe siècles, Paris, Union générale d'éditions, coll. «10/18», 1147, 1977, 253 p. Traduits par Nora Scott. ) Retour à la page Cours et matériel pédagogique Retour à la page d'accueil de Benoît Melançon Le site de Benot Melanon est mis disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'utilisation commerciale 4.
  1. Chanson les mois de l'année

Chanson Les Mois De L'année

UNE DÉFINITION DE LA MENTALITÉ MÉDIÉVALE «La conception même des buts du poète, généralement décrit comme un humble artisan au service de son Créateur, l'anonymat habituel de la création littéraire, le "communisme" coutumier des thèmes et des formes qui montre que l'on ne donnait de valeur ni à l'originalité, ni à l'individualité, l'absence de considération pour l'historicité des événements, tous ces symptômes parallèles de la mentalité médiévale expliquent l'absence d'une histoire littéraire proprement dite. » (Source: René Wellek, The Rise of English Literary History, cité par Robert Escarpit, «Histoire de l'histoire de la littérature», dans Raymond Queneau (édit. ), Histoire des littératures. III. Littératures françaises, connexes et marginales, Paris, Gallimard, coll. Cré Tonnerre — Wikipédia. «Encyclopédie de la Pléiade», 7, 1978 (nouvelle édition), p. 1747-1826, p. 1769. ) III. «SERMENTS DE STRASBOURG» (842) En roman (842): «Pro deo amur et pro christian poblo et nostro commun saluament [... ]». En ancien français (XI e siècle): «Por dieu amor et por del crestiien poeple et nostre comun salvement [... ]».
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