Publié le 25 mai 2022 à 10h30 Mila lors du procès qui l'opposait à ses cyberharceleurs au Tribunal judiciaire de Paris, le 22 juin 2021. - © Jeanne Accorsini / Sipa Le jugement dans l'affaire opposant la jeune femme aux six harceleurs qui l'avaient menacée sur les réseaux sociaux a été rendu, ce mardi 24 mai. De trois mois de prison avec sursis à quatre mois ferme. Elle montre son trou du culte musulman. Ce sont les peines auxquelles auront été condamnées par le tribunal judiciaire de Paris six personnes, dont quatre femmes, jugées pour harcèlement et menace de mort à l'encontre de Mila. Mila, qui vit sous protection policière, a été la cible d'un « raz-de-marée de haine » après avoir répondu en janvier 2020, alors qu'elle était âgée de 16 ans et demi, à des injures sur les réseaux sociaux sur son orientation sexuelle par le biais d'une vidéo véhémente sur l'islam. À lire aussi: Mila à son procès: "Il est temps que la peur change de camp" Droit au blasphème La jeune femme, qui revendique son droit au blasphème, s'était attirée une nouvelle salve de menaces après la publication d'une seconde vidéo polémique, le 14 novembre 2020, dans laquelle elle lançait vertement à ses détracteurs: « Et dernière chose, surveillez votre pote Allah, s'il vous plaît.

Elle Montre Son Trou Du Cul Cougar

Deux adolescentes âgées de 13 ans sont en garde à vue au commissariat de police de Besançon. Elles ont été arrêtées ce jeudi en fin d'après-midi, alors qu'elles étaient seules à l'avant d'une voiture, dans le quartier de Planoise. Elles ont tenté de foncer sur les policiers. L'interpellation n'est pas passée inaperçue ce mercredi après-midi à Besançon: deux adolescentes âgées de 13 ans ont été arrêtées, alors qu'elles étaient seules dans une voiture. La scène commence dans le quartier de Planoise, où les agents repèrent ce véhicule conduit par une jeune fille, dans le secteur du collège Voltaire. Une patrouille est envoyée sur place, avec des policiers motards. À la vue des motos de police, la jeune conductrice, âgée de 13 ans, donne des coups de volant et tente de foncer sur les forces de l'ordre. Un coup à droite, un coup à gauche… la voiture roule mal, et essaye de renverser les motards. Elle montre son trou du cul. Elle se retrouve rue de Dole, coincée dans les embouteillages à 17h30. Les policiers interviennent alors et sont obligés de casser le pare-brise et la vitre côté passager pour déverrouiller les portes et extraire les occupantes de la voiture.

«Personne ne touche mes fesses! » dit ce mercredi 18 mai Youssouf Diallo au médecin chargé de l'ausculter. «Trou de cul! Tu crois avoir à faire à Escobar? » lance-t-il au policier sur place. Et dans la foulée de plonger une main dans ses fesses pour sortir de l'anus cinq pochons de drogue couverts d'excréments qu'il jette à la figure du fonctionnaire. «Je ne l'ai pas traité de trou du cul. Je n'ai rien jeté sur lui! Il veut juste m'envoyer en prison», proteste le prévenu jeudi 19 mai depuis son box. Les MECS PUCEAUX après 20 ANS sur le forum Blabla 18-25 ans - 19-05-2022 15:58:02 - page 3 - jeuxvideo.com. Le policier précise lui que la scène a été filmée. L'homme qui comparaît n'est pas inconnu des services de la justice. Il a déjà été condamné deux fois, la dernière remontant à février 2022. Il est aujourd'hui en récidive légale. Audrey Sénégas, la procureure de la République, souligne qu'il a trois convocations à venir pour des affaires liées aux stupéfiants. Alors il joue gros. «Vous encourez dix ans de prison», lui rappelle la présidente Laura Constantin. (…) «C'est un charbonneur (le nom donné à celui qui revend de la drogue, Ndlr) qui est interdit de présence à Creil et qui vient donc travailler à Compiègne», estime la procureure Sénégas.