» Comme l'a remarqué 20 Minutes, la vidéo originale (sans les coupes) a été postée quelques instants avant le montage, au soir du 8 janvier, sur le compte Twitter de Hocine Yousfi. Et voici l'intégralité du message d'Anne Hidalgo aux taxis: «Je vous souhaite une très très belle année. D'abord, profitez de la vie avec vos familles, je vous souhaite le meilleur autour de vous, du bonheur, de la douceur, de l'amour, du travail. Et les taxis, à Paris, ont du travail, parce qu'on fait tout pour que les Parisiens n'aient plus de voiture et qu'ils puissent prendre le taxi, le vélo et la marche à pied. Donc bonne année à vous. » Là non plus, le sens du propos initial n'est pas altéré par les coupes dans la vidéo. Ce que disent les parisiens en vacances - Les Inrocks. A noter que cette position de la maire de Paris n'a rien de nouveau ni de caché. Anne Hidalgo a d'ailleurs partagé elle-même la première vidéo sur son compte Twitter. Et a toujours fait montre de sa volonté de réduire le nombre de véhicules particuliers au profit d'autres moyens de transport parmi lesquels, entre autres, les taxis.
L'usage de la voiture, les accidents, la pollution, baissent progressivement, sans à-coup. Et les aménagements destinés aux cyclistes et aux piétons progressent également, sans à-coup non plus. La ville change, lentement, mais sûrement. Olivier Razemon (l'actu sur Twitter, des nouvelles du blog sur Facebook et de surprenants pictogrammes sur Instagram).
_pepe_ Pas faux... sauf que parmi ces gens de Paris et des alentours qui répondent au cliché, une grande partie n'y vit pas depuis très longtemps. En effet, ce n'est pas un comportement propres aux autochtones, mais plutôt une allure et un mode de vie que les habitants, même de passage, adoptent pour se fondre dans le paysage local, pour se conformer aux us et coutumes... du moins à l'image qu'ils s'en font. Ces Parigots-là me font sourire quand ils me demandent de quelle ville je suis originaire, puisqu'à l'évidence je n'appartiens pas à leur monde remarquable, agité mais néanmoins ultime. Je souris car, contrairement à eux bien souvent, ma province natale c'est... Ce que disent les parisiens. un arrondissement de Paris. J'y suis né et j'y vis, comme mes aïeux, sans en tirer aucune gloire (je laisse ça aux imbéciles). N'en déplaise aux orgueilleux et aux amateurs d'idées préconçues.