Mi avion mi hélicoptère, c'est la moto de l'air… L'autogire ou Gyravion est une machine volante méconnue mais vraiment étonnante! On le surnomme la moto de l'air car il peut décoller et surtout atterrir sur de très petites distances et voler à des vitesses vraiment très basses. C'est aussi une machine légère (classée ULM généralement) donc relativement facile et économique à opérer pour tout pilote correctement formé. Mais l'autogire c'est quoi? Un avion dont on aurait remplacé l'aile par un rotor? Un hélicoptère auquel on aurait ajouté un moteur d'avion? Autogire vitesse maximale. Un peu des deux en fait, c'est un rotor en roue libre qui tourne grâce à la vitesse horizontale procurée par un puissant moteur d'ULM à hélice. Du coup on s'affranchie de la grande complexité technique des hélicoptères d'une part, et des problèmes de vitesse minimal des avions d'autre part (longues pistes nécessaires, Ext. …) Un Engin hybride qui peut voler à des vitesses incroyablement basses et dont certains modèles décollent désormais presque verticalement grâce à un système de pré lancement rotor et de contrôle de pas des pales.
Le J-RO est un autogire facile à piloter, simple à pré-lancer avec des systèmes de protection innovants et remarquablement bien pensés pour la sécurité. Autogire vitesse max 90. Grâce à ses grandes portes, l'accès à bord est aisé. Vous pourrez emmener vos bagages. Votre passager bénéficie d'un confort et d'un espace incomparables. Fabriqué en France par la société DTA, le J-RO bénéficie de la qualité de construction, de conception et de finition qui font de DTA un des leaders mondiaux en aviation ultra-légère.
Inutile de dire qu'il a grimpé comme une roquette et a eu des performances incroyables... " C. S. - États-Unis " Très bonne machine, surprenante avec le Rotax 915iS. La sensation d'une force tranquille avec toute l'agilité d'un Magni. " D. M. Autogire vitesse max et. - France Basé sur le concept éprouvé de la série Rotax 912 / 914, le moteur Rotax 915 iS offre plus de puissance, le meilleur rapport puissance/poids de sa catégorie, une puissance totale au décollage jusqu'à 4 570 m (15 000 ft) et une limite maximale de service de 23 000 ft (7 010 m). 4 cylindres, moteur 4 temps refroidi par air ou par liquide avec refroidissement horizontal, cylindres opposés, lubrification par carter sec forcé avec réservoir d'huile séparé, réglage automatique par poussoir de soupape hydraulique, injection et allumage électroniques redondants, système de gestion moteur (EMS), démarrage électrique (12 ou 24 volts), réducteur de vitesse d'hélice, système d'admission d'air avec intercooler, turbocompresseur avec échappement en acier inoxydable, TBO (temps entre les révisions) 1.
Liste complète des autogires Voici une liste de tous les autogires construits en usine actuellement en production. Seuls quelques-uns d'entre eux sont autorisés à voler au Royaume-Uni.
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A quelle est l'altitude maximale un autogire peut voler? L'autogire peut voler à des altitudes supérieures à 4000 mètres; cela dépend entre autre de la puissance de son moteur. En revanche, sur ces altitudes élevées, tel un alpiniste, c'est l'hypoxie du pilote sur lequel il faudra porter votre attention. Le record d'altitude (avec bouteille d'oxygène) à ce jour est détenu par Donatell Ricci, femme pilote italienne pour avoir franchi 8399 mètres (27, 556 ft) en novembre 2015. Que se passe t'il si le moteur s'arrête? L'autogire continue à voler (planer) puisque son rotor tourne sans l'aide du moteur avec le vent relatif. Baptême autogire - mi-avion, mi-hélicoptère, c'est la moto de l'air!. Il devra néanmoins se poser rapidement car sa propulsion n'est plus assurée. Sa finesse est de l'ordre de 4. Les pilotes sont entraînés, voir sur-entraînés aux exercices de panne moteur par leur instructeur pour faire face à cette éventualité. Comment est construit l'autogire? Les autogires modernes sont fabriqués en série dans des usines avec des matériaux de qualité aéronautique: acier, carbone, kevlar… Chaque nouveau modèle, en plus d'être testé, possède un cahier technique soumis aux autorités aéronautiques pour obtenir leur certification de vol.
Les moignons d'ailes encore utilisés sur le C. 19 deviennent inutiles. Comme sur les précédents modèles Cierva, des articulations verticales à la naissance des pales permettent d'équilibrer la portance de chaque côté de l'appareil. Le prototype C. 30 vole en avril 1933. Il emporte un pilote et un observateur. Il est équipé d'un rotor tripale, d'un moteur en étoile à cinq cylindres Armstrong-Siddeley Genet Major I de 105 cv et d'un fuselage entoilé. Les quatre modèles C. 30P de pré-production disposent de pales repliables, d'un train d'atterrissage et d'un axe rotor renforcés et du moteur en étoile à sept cylindres Genet Major IA de 140 cv. Le modèle de production, le C. 30A, est fabriqué par Cierva Autogiro Company dès 1934. Des licences de production sont accordées à Avro en Grande Bretagne (Avro 671 Rota Mk I), à Lioré et Olivier en France (LéO C. 30), à Focke-Wulf en Allemagne (FW C. 30 Heuschrecke). Autogire : comment le faire soi-même, le principe de l'autogire. Chaque constructeur choisit de motoriser le C. 30 par un moteur national. Avro vend à des particuliers de nombreux appareils, qui seront ensuite revendus à des armées étrangères pour faire des essais.