Chantal Goya et Jean-Jacques Debout ne vivent pas dans un château et n'ont pas de majordome. Ils habitent dans un grand appartement au pied de Pigalle et c'est elle qui vient nous ouvrir. « Pardon pour le bazar. On n'a pas eu le temps de ranger, avec la préparation du qui vole! Une vie de fou du. » Nous rencontrons le couple le plus solide du showbiz -bientôt cinquante-trois ans de mariage! - à l'occasion du retour de leur mythique spectacle de 1980, qui a rempli ce week-end trois fois le palais des Congrès -et près de 350 fois depuis le début de sa carrière- avant de partir en avril en tournée. Leur salon est à leur image, drôle, iconoclaste. Toute leur vie est là. Leur photo de mariage, avec la Rolls d'occasion achetée par Jean-Jacques Debout, le piano où il lui a composé toutes ses chansons, les images de leurs deux enfants, de leurs quatre petits-enfants, des statuettes de Mao côtoyant celles de Bécassine, une Une moqueuse de « Charlie Hebdo » qui titrait à propos de la chanteuse: « Ces concerts auxquels Daech ne se pointera pas ».
«Je passe plus de temps dans mon véhicule qu'à la maison», souligne celui qui a fait ses débuts comme recruteur amateur dans les années 1980, avec les Capitals de Washington. Côté a connu l'époque où il était facile de suivre les activités de la Ligue de hockey junior majeur du Québec. «Les équipes étaient toutes au Québec et plusieurs d'entre elles étaient rapprochées, rappelle-t-il. UNE SIMPLE HISTOIRE DE FOU, ÉPISODE 4, la fin d’un calvaire | Arbre de vie. Les distances à parcourir étaient beaucoup plus courtes qu'aujourd'hui. Vous savez, le Cap-Breton, c'est loin. «Je peux me retrouver le jeudi soir à Shawinigan, le vendredi à Halifax, le samedi à Saint-John et le dimanche à Bathurst avant de revenir à mon domicile au Québec. » Son boulot l'amène aussi à assister à des matchs de hockey collégial dans le nord-est des États-Unis, comme à Albany et à Syracuse. Pas de bouffe à l'aréna Il va sans dire qu'un recruteur qui est toujours entre deux déplacements recherche les restaurants où il peut se faire servir rapidement. «J'aime prendre un repas en fin d'après-midi, dans des restos comme St-Hubert et Scores, mentionne Côté.
Mais je ne me suis pas présenté je m'appelle Lucien Dugard et même si on veut être précis on rajoute Joseph. Mais pour tout le monde c'est Lucien ou Lulu. Je suis né à Louviers dans l'Eure. Vous voyez je sais mes départements, même si avec le temps je crois que j'en ai oubliés. On veut me faire croire que je suis idiot mais j'ai été à l'école. Ma date de naissance est le 24 juillet 1889, j'en suis sûr car autrefois chez maman et papa on fêtait les anniversaires. Ici à l'hôpital d'Évreux on ne les célèbre jamais. Papa est boucher ou était je ne sais plus, cela fait d'ailleurs longtemps qu'il n'est pas venu me voir. Une vie de fou en. Je crois que personne ne vient me voir, maman peut-être et encore je ne sais plus. Je tousse cela me fait mal, la tête me tourne un peu. Oui mes parents avaient une boutique au 12 rue de la laiterie, je n'aimais pas l'odeur de cette viande morte, toujours on m'hurlait dessus car cela me rebutait. Dans mes souvenirs la ville était plutôt grande, baignée par la rivière Eure avec plein de bras, enjambée par plein de ponts.
Waouh, je n'ai d'autre mot pour résumer ce photographe. Au final j'ai passé une journée exceptionnelle en qualité d'assistant. J'ai découvert réellement en une journée la difficulté technique des photographes de mariages mais surtout j'ai découvert un photographe impressionnant, charmeur mais surtout très professionnel avec qui j'ai passé d'excellents moments. J'ai eu la chance de vivre des moments forts et intenses! Après cette journée, j'ai re signé pour 3 autres mariages en tant qu'assistant, car j'ai appris et je continue d'apprendre chaque jour. Une vie de maupassant. Je conseille fortement les gens à continuer à se former, d'être à l'écoute des professionnels qui vous entourent. Je remercie chaleureusement Olivier Fréchard pour sa disponibilité, sa patience, son humour et son professionnalisme. Je remercie les mariés qui m'ont autorisé à diffuser les photos, à participer à l'une de leurs plus belles journées, merci pour leur gentillesse et leur confiance, et les moments partagés auprès d'eux (Day After).
2- Mardi 14 octobre Travail de bureau à la maison (courriels, téléphone). Je visionne les récents matchs des Sharks que j'ai enregistrés pendant mon absence, question de voir la progression de nos jeunes. 3- Mercredi 15 octobre Je quitte Québec pour me diriger vers Longueuil, afin d'assister à un match de la Ligue de hockey junior du Québec entre Longueuil et Saint-Léonard. Retour à la maison vers minuit. Distance parcourue en voiture: 504 km. 4- Jeudi 16 octobre Je rédige un rapport sur le match de la veille et je quitte vers Shawinigan en milieu d'après-midi pour assister à la partie entre les Cataractes et le Phoenix de Sherbrooke. Je rencontre les entraîneurs et je remets un questionnaire adressé aux joueurs ciblés. Retour à Québec vers minuit. Distance parcourue en voiture: 335 km. 5- Vendredi 17 octobre Je quitte la maison à 7 heures pour me diriger en voiture jusqu'à Halifax. Arrivée à 17h30. J'assiste au match entre les Mooseheads et les Screaming Eagles du Cap-Breton. Discussions avec les entraîneurs et remise de questionnaire aux joueurs.