Le roi David La Bible nous raconte que Saül, le premier roi du peuple hébreu, refusa un jour d'obéir à un commandement de Dieu. Alors Dieu, que les Hébreux appelaient Yahvé, demanda à un prophète appelé Samuel de se rendre à Bethléem. — Va chez Jessé, dit Dieu, chez lui tu trouveras le futur roi. Samuel arriva dans le village, entra dans la maison de Jessé. Il avait huit fils et Dieu lui envoya un signe: c'était le plus jeune, David, qui devait être roi. Par une prière, Samuel le consacra en secret, sans même le lui dire, à lui David ni à son père Jessé. Le roi David et son fils, le roi Salomon. David, dans une peinture flamande David était un pâtre, un berger. Mais il avait un don pour la musique. Il savait composer des chansons et jouait de la lyre d'une manière merveilleuse. Il se fit ainsi connaître du roi Saül. Le roi avait beaucoup de soucis et David, en jouant ses mélodies, parvint à lui donner des moments de paix et de joie. En remerciement, le roi le prit comme écuyer, David s'occupait de son cheval. David et le roi Saül David grandit, devenant fort et courageux.
Celui-ci le confie à Joseph-Marie Vien, précurseur du retour à l'antique dans la peinture, qui introduit et développe une peinture d'Histoire dont les détails du décor et de l'architecture s'inspiraient d'objets archéologiques (goût "à la grecque"). David, précoce, suit l'enseignement de Vien à l'Académie royale de peinture et de sculpture. La leçon de Rome C'est après s'être présenté à trois reprises sans succès au concours du Grand Prix de Rome pour achever sa formation en Italie, que David est accepté avec son tableau Antiochus et Stratonice, en 1774. Les qualités du roi david hockney. Il trouve son style pendant ce séjour à Rome, en copiant les chefs-d'œuvre des antiques et des maîtres italiens. David s'y forme à toutes les techniques (mine de plomb, peinture sanguine... ) et trouve un nouvel idéal de rigueur "classique". Sa recherche d'un style nouveau autant que sa quête académique le conduisent à composer de grandes peintures d'histoire. Quelques tableaux exposés au Salon lui apportent la notoriété: notamment le Saint Roch intercède la ville pour la guérison des pestiférés (musée des Beaux Arts de Marseille), grande composition magistrale inspirée de la peinture italienne du XVIIe siècle.