C'est une des pires tueries dans une école depuis des années. Les mobiles de l'attaque, perpétrée par un jeune de 18 ans, restent encore inconnus. Par Rédaction Actu Publié le 25 Mai 22 à 6:55 L'émoi des familles à Uvalde, au Texas, ville endeuillée, le 24 mai 2022. (©AFP/allison dinner) Un adolescent de 18 ans a ouvert le feu mardi dans une école primaire au Texas, tuant 19 jeunes élèves et deux adultes, un drame qui a replongé l'Amérique dans un cauchemar chronique, Joe Biden exhortant à un sursaut pour réguler les armes à feu. « Il est temps de transformer la douleur en action », a insisté le président américain, visiblement ému, dans une allocution solennelle à la Maison Blanche. BFM TV a-t-elle invité en plateau des Ukrainiennes néonazies mariées à des soldats du régiment Azov? – Libération. « Écœuré et fatigué » Joe Biden s'est dit « écoeuré et fatigué » face à la litanie des fusillades en milieu scolaire. Quand, pour l'amour de Dieu, allons-nous affronter le lobby des armes? Cette dernière tragédie a fauché la vie d'enfants âgés d'une dizaine d'années tout au plus. Le tireur a tué ses victimes « d'une façon atroce et insensée » dans la ville d'Uvalde, a déclaré le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott.
L'article 230 du code pénal tunisien, en version arabe et française, condamne "la sodomie" et "l'homosexualité" masculine et féminine d'une peine allant jusqu'à trois ans de prison pour les personnes prises en flagrant délit, d'où le titre de la pièce. Une photo à connotation homosexuelle découverte par la police sur un téléphone portable peut ainsi engendrer arrestations, humiliations, agressions verbales et physiques, voire un test anal forcé. Drapeau amérique du nord au sud. Selon Mawjoudin, 59 personnes ont été incarcérées entre 2020 et octobre 2021 sur la base de l'article 230. "Flagranti parle d'un sujet tabou, d'une réalité qu'on continue en Tunisie à faire semblant de ne pas voir, et qu'on tente, par ce spectacle, de révéler au grand public", explique Essia Jaïbi, auteure du scénario fictif mais inspiré de vrais témoignages. "Moment historique" Sensibiliser, changer des mentalités "discriminatoires", abolir une loi "rétrograde" et promouvoir l'art queer en Tunisie sont les principaux objectifs de "Flagranti", explique Karam Aouini, un responsable de Mawjoudin.