Posted about 15 hours ago | Un jeune présumé féticheur a égorgé samedi dernier, un enfant de 06 ans pour retirer ses organes à des fins occultes. Pour commettre cet acte macabre dans le département de l'Atacora, le jeune présumé féticheur, selon les sources de BENIN WEB TV, a profité d'un moment d'absence des parents de l'enfant pour le rejoindre dans la chambre. Lutte contre le terrorisme : "Si nous cédons, ce n’est pas seulement notre armée nationale qui s’en trouvera détruite, mais l’ensemble de notre pays qui sombrera" (FORAC) - NetAfrique.net. L'homme dont l'identité n'a pas encore été dévoilée a tué l'enfant, récupéré sa tête et les différentes parties de son corps pour faire une offrande à son fétiche qui réclamerait du sang. Et comme le malheur n'arrive jamais seul, il sera très vite découvert par les populations surexcitée qui en plus de vouloir lui rendre le coup ont brûlé sa maison et ses fétiches. Mais il a été sauvé de justesse par des éléments de la police républicaine. Actuellement en garde à vue, il sera présenté au procureur les jours à venir. Comments comments

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"Dans un contexte pareil, il faut œuvrer à l'unité nationale, on ne peut pas oeuvrer à la division, à la diversion, aux intimidations et aux arrestations", a-t-il ajouté. Accusé de ne pas avoir su endiguer la violence jihadiste qui mine le Burkina Faso depuis 2015, Roch Marc Christian Kaboré a été renversé par une junte militaire conduite par le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, aujourd'hui président de transition. Nécrologie au burkina faso clarisse. Après une courte accalmie suivant sa prise de pouvoir, M. Damiba fait face depuis mi-mars à une recrudescence d'attaques de jihadistes présumés qui ont fait plus de 200 morts, civils et militaires. La libération de M. Kaboré a été réclamée à plusieurs reprises par la Communauté des Etats d'Afrique de l'ouest (Cédéao), l'ONU et l'Union africaine.

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Les partisans de l'ex-président du Burkina Faso Marc Christian Kaboré, renversé par un putsch en janvier, se sont rassemblés samedi à Ouagadougou pour exiger sa libération. Nécrologie au burkina faso 2019. Des centaines de partisans de l'ex-président du Burkina Faso Roch Marc Christian Kaboré, renversé par un putsch en janvier, se sont rassemblés samedi à Ouagadougou pour dénoncer sa "prise en otage" et exiger sa "libération totale et sans conditions", a constaté un journaliste de l'AFP. D'abord retenu dans une villa de Ouaga 2000, un quartier huppé de Ouagadougou après le putsch du 24 janvier, M. Kaboré avait été autorisé à regagner début avril son domicile privé dans la capitale burkinabè, mais ne jouit pas de sa liberté, selon ses partisans. La suite après cette publicité Lire aussi: Burkina Faso: Macron «condamne le coup d'Etat militaire» "Un citoyen burkinabè, de surcroit un ancien chef d'Etat, est détenu chez lui à la maison, réquisitionnée et transformée en une prison", a affirmé Désiré Guinko, porte-parole d'une coordination d'organisations pro-Kaboré à l'origine du rassemblement.

Blaise Compaoré tente le tout pour le tout. Alors que son parti, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), est déchiré par le duel fratricide entre Eddie Komboïgo, fer de lance des « réformateurs », et Achille Tapsoba, qui prône la fidélité absolue à l'ex-chef de l'État, l'ancien président essaie de prendre les choses en main. Selon nos informations, du 23 au 25 mai, il a présidé un face-à-face entre les deux rivaux, dans sa résidence située à Cocody, le quartier huppé d'Abidjan où il vit depuis le début de son exil, en 2014. « Nous avons eu un conclave à Abidjan sur invitation du président d'honneur », a déclaré un membre de la délégation. « Ambiance bon enfant » Eddie Komboïgo, qui est toujours à la tête du CDP, avait à ses côtés son vice-président, Boubacar Sannou, tandis qu'Achille Tapsoba était accompagné par l'ancien ministre de l'Environnement, Salifou Sawadogo. LeFaso.net - L'actualité au Burkina Faso. L'ancien ministre des Mines et de l'Énergie, Salif Lamoussa Kaboré, réputé proche de François Compaoré, frère cadet du président déchu, et l'ex-ministre des Sports, René Émile Kaboré, ont, eux aussi, pris part aux débats.