Aux nouvelles de Radio-Canada, j'ai été abasourdi par la déclaration de la ministre des Langues officielles, Ginette Petitpas Taylor. On attend depuis longtemps la révision de la Loi sur les langues officielles de notre cher Canada. Cette révision tarde à venir et après chaque élection, on pense enfin qu'on va accoucher. Il faut dire que ça presse, surtout dans notre Nouveau-Brunswick bilingue, puisque le premier ministre Higgs est au pouvoir au moins jusqu'en 2024 et que les droits de la minorité acadienne et francophone doivent faire face à l'orage. Le comble, on pensait que la nouvelle ministre était bien en selle pour trouver une fois pour toutes la formule magique qui assurerait que la minorité francophone pourrait enfin jouir d'une vraie égalité. En selle ! – Passion. Voilà que madame la ministre est tombée en bas de son cheval en déclarant que devoir parler la langue française ne devrait pas être un critère pour occuper le poste de représentant(e) de la Reine d'Angleterre. Elle va plus loin en louangeant ces personnes qui acceptent cette position sans gêne en sachant bien que c'est une gifle de plus au visage des francophones.

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Je ne peux que conclure que la révision de la Loi des langues officielles n'apportera pas plus de mordant. L'opinion du lecteur dans l'Acadie Nouvelle du 1er décembre, signée par Rosella Melanson, traduit bien la pensée de beaucoup de francophones qui voient encore le train dérailler et savent trop bien que la marchandise ne sera pas livrée. Émile Richard Bouctouche

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A La Selle-en-Luitré, on ne manque pas d'idées... Pour inaugurer l'exposition consacrée au train et préparer les courses de caisses à savon, une locomotive a fait son apparition. Mme PELLET Ginette Marie - Décès en France - Moteur de recherche des personnes décédées en France. Par Brigitte Beaumert Publié le 28 Mai 22 à 15:09 mis à jour le 29 Mai 22 à 11:03 La Chronique Républicaine On pourra retrouver les « locaux motivés » lors des courses de caisse à savon. ©La Chronique républicaine Elle sera l'une des vedettes des courses de caisses à savon, le 11 juin à La Selle-en-Luitré... La locomotive, créée par le comité des fêtes, a toutefois fait une première apparition … à la gare de La Selle-en-Luitré. Le site accueille ce week-end une exposition, dans le cadre d'un vaste programme de manifestations liées aux 150 ans de l'achèvement de la ligne ferroviaire à destination du Mont-Saint-Michel. La toute jeune association Csell'histoire et patrimoine, créée il y a un an, a réalisé une exposition « Le quotidien d'une petite gare rurale au 20e siècle », avec des reproductions de cartes postales, un diaporama et des films.

En milieu rural, en effet, il est le mode de transport encore « obligatoire » pour pouvoir être dépendant. Mais avec l'augmentation des prix de l'énergie et surtout des carburants et face au réchauffement climatique, la transition doit être faite. Aujourd'hui, trois lignes de bus tourneront pour permettre aux habitants de se déplacer sans pour autant, autant que faire se peut, utiliser leur voiture. « Le défi de la décennie » Dans dix ans, un vélo route pourrait également exister entre la place Fontanges et Toulonjac. En ce qui concerne l'électrique, des ombrières pourraient être installées sur certains parkings, notamment celui d'Aqualudis pour une auto-consommation. En selle ginette pdf. Des bornes de recharge pour les voitures électriques devraient être installées. « On veut être identifié comme une commune verte » « On veut être identifié comme une commune verte. Mais le véritable défi de la décennie, en dehors de la mobilité douce, de l'électrique et de la voirie, c'est surtout, en termes d'écologie, l'assainissement », conclut Jean-Claude Carrié.