La société Fimatec Ingenierie Nord Ouest est basée à ROUEN. Cette entreprise est en activité depuis le jeudi 14 septembre 2017. Le capital de cette entreprise est de 40000 EUR. Fimatec Ingenierie Nord Ouest est située à ROUEN, au 108 AVENUE DE BRETAGNE. L'effectif de la société est de 1 ou 2 salariés. Magnolia web assurances ROUEN (76000), Courtier en assurance - 0232768110. La société est enregistrée sous le statut Société par actions simplifiée. Son SIREN (système d'identification du répertoire des entreprises) est le 831955927. Le numéro de téléphone de Fimatec Ingenierie Nord Ouest est le 0360173036 (ligne fixe ou mobile directe).

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00 € Mandataires sociaux: Nomination de Ste HDG Groupe (Président), nomination de M Christophe FREMEAUX (Commissaire aux Comptes), nomination de M Christophe FALEWEE (Commissaire aux Comptes Suppléant), nomination de M James VERNIER (Directeur Général) Date d'immatriculation: 06/09/2017 Date de commencement d'activité: 06/09/2017

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J'ai commencé à mettre mon identité sur le papier, à écrire sur ma rue, la mer, les quais. J'ai conquis la ville en slovène», se souvenait-il. En 1943, il participe au mouvement de libération nationale. Livré aux Allemands par des fascistes slovènes, il est déporté début 44 au camp de concentration de Struthof, en Alsace dans l'est de la France, puis à Dora, Dachau et Bergen-Belsen en Allemagne. «Je portais la lettre I mais je ne voulais pas brûler comme Italien, je me suis déclaré Yougoslave. Nous étions des "Triangles rouges", des politiques, des anti-nazis, des combattants de la liberté. On nous englobe dans l'Holocauste, ça n'a rien à voir. Si on le fait remarquer, on est taxé d'antisémite», regrettait Boris Pahor lors de cette rencontre peu de temps après le décès de son épouse. C'est sa maîtrise du français et de l'allemand qui le sauve de la mort. Fimatec Ingenierie Nord Ouest (Rouen, 76100) : siret, TVA, adresse, bilan gratuit.... Mais pas du typhus ni de la tuberculose. Écrit en 1967, Pèlerin parmi les ombres (Nekropola en slovène), est paru en Italie seulement en 2008, bien après avoir été édité dans de nombreux pays européens.

Bien avant les camps, Boris Pahor éprouve la violence de la répression. Il a sept ans lorsqu'il voit les Chemises noires fascistes mettre le feu au centre culturel slovène de Trieste le 13 juillet 1920. «Sous l'Autriche, les Slovènes avaient pu développer leur culture. Avec l'Italie on savait que nous allions tout perdre», confiait-il à l'AFP, en français, lors d'une rencontre en 2009 dans sa ville des bords de l'Adriatique. Très vite, le slovène est interdit, les noms et les prénoms italianisés, la presse slovène disparaît, les livres sont brûlés. Des Slovènes sont arrêtés, des résistants exécutés. Triangle rouge «A 11 ans, moi qui étais -né Autrichien de nationalité slovène-, je devais devenir Italien. Comment pouvait-on exiger que je devienne quelqu'un d'autre? ». Cette histoire tourmentée, Pahor la raconte dans ses nouvelles d' Arrêt sur le Ponte Vecchio (1999) ou L'appel du navire (2008). «A 17 ans, j'ai compris que je devais rester fidèle à l'identité slovène. J'étais une de ces "punaises" que Mussolini voulait écraser.