La stabilité d'un talus bordant la ligne à grande vitesse Paris-Strasbourg a été «surestimée», selon le rapport d'enquête, publié vendredi, sur le déraillement d'un TGV qui avait fait 22 blessés en Alsace il y a deux ans. Le déraillement du TGV Paris-Strasbourg avait fait 22 blessés en Alsace il y a deux ans (photo symbolique). ATS Le Bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre (BEA-TT) recommande notamment au gestionnaire SNCF Réseau de «renforcer» l'encadrement des mesures de stabilité des talus, et aux entreprises de BTP de «remettre en question leurs pratiques» dans ce domaine. Le 5 mars 2020 à 07h32, un train circulant à 284 km/h entre Strasbourg et la capitale avait heurté un monticule de terre recouvrant la voie à la hauteur de la commune d'Ingenheim (Bas-Rhin), à une trentaine de kilomètres de Strasbourg. Sous le choc, l'avant du train – la motrice et les trois premières voitures – avait déraillé. La rame avait poursuivi sa course pendant 40 secondes sur plus de 1, 6 km, sans toutefois se coucher ni se désolidariser, «guidée» par les rails de la voie opposée.

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Chaque talus, de n'importe quelle raideur, représente dans certaines conditions un ris­que pour la sécurité des hommes ou des bâtiments, parce qu'il peut donner lieu à un glissement de terrains plus ou moins rapide. A cause de cela l'un des devoirs de l'ingénieur géologue et du géotechnicien est de s'assurer de la stabilité d'une pente ou d'un talus pour prévenir éventuels dégâts. Souvent il est très facile de déterminer la stabilité d'une pente sur la base de son appa­rence et de la connaissance de la roche en place; souvent certains indices indiquent le mouvement d'un talus, même un lent mouvement, et souvent un glissement de terrains a déjà causé des dévastations avant que les experts s'occupent de la sécurité (fig 1). Pour s'assurer de la stabilité d'une pente il y a usuellement deux possibilités. La pre­mière est de faire une analyse mathématique de la stabilité après une reconnaissance soigneuse du sous-sol, qui reflète le degré momentané de la stabilité. La deuxième possibilité est d'installer un dispositif de contrôle qui peut identifier l'état, le mécanisme du mouvement et le changement temporaire des facteurs influençants la stabilité et qui sert de base pour des mesures de précaution effectives.

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Des mesures de précipitation indiquent une corrélation entre l'augmentation des mouvements de la pente et des précipitations exceptionnelles. Par suite de processus électro-osmotiques, l'augmentation de la teneur en eau mène à un potentiel électrique inégal aux bords des deux surfaces du glissement et ainsi à un plus grand risque de glissement. Spécialement après des périodes de temps secs l'eau de précipitations pénètre facilement dans des tonsteins, parce que l'eau peut facilement infiltrer les fissures de retrait. Pour les mesures on utilise des jauges d'eaux souterraines et piézomètres. L'effet des eaux souterraines: Les eaux souterraines coulantes produisent une pression de courant qui diminue la stabilité de la pente. Les changements sou­dains de la nappe d'eau provoquent des pressions de l'eau interstitielle. Résultat: liquéfaction des sols sablonneux. En outre le courant de l'eau souterraine peut la­ver des liants de grains solubles; résultat: réduction des caractéristiques mécani­ques de la roche.

Si on constate en cas de petits volumes de glissement par calcul ou par observations que la sécurité d'un talus et environ 1 ou moins on va prendre des mesures de précau­tion qui augmentent la sécurité à un degré comme prescrit dans nos régulations. Mais souvent le volume de la masse glissante est tellement grande qu'il n'y a pas de possibilité pour prendre de mesures de protection. Dans ce cas on va observer l'état du talus en continu et s'il y a de danger imminent pour hommes et objets on va prendre des précautions convenables. En observant l'état d'un talus avant tout le développement temporaire des mouvements glissants est au premier plan. De l'information sur la vélocité du mouvement on peut estimer le danger qui vient du talus et si des mesures de précaution sont nécessaires et lesquelles. En 1995 l'Union Internationale des Sciences Géologiques (IUGS) a classifié des cycles de glissement sur la base de leur vélocité (voir table 1). Ces classes permettent de dire sur le degré du danger et de commencer des mesures de précaution convenables.