"C'est clairement le futur" Et ce traitement est aussi plus efficace. "Plus de la moitié des patients à un stade très avancé qui ont été traités par immunothérapie sont toujours en rémission cinq ans après le traitement. Avec la chimiothérapie, le taux de survie était quasiment de 0%", détaille dans Le Figaro le professeur Olivier Michielin, responsable de la clinique du mélanome et de l'oncologie de précision au Centre hospitalier universitaire vaudois, à Lausanne, en Suisse. "C'est clairement le futur", abonde au micro de BFMTV Alexandra Leary, oncologue spécialisé dans les tumeurs gynécologiques. "Mais c'est déjà le présent", se réjouit-elle. Clinique de l espoir saab 9. Car les cancers gynécologiques ne sont pas les seuls qui peuvent être traités grâce à l'immunothérapie. Selon une étude publiée en avril, associer immunothérapie et chimiothérapie avant la chirurgie diminue de 40% le risque de décès à deux ans et de 37% celui de récidive en cas de cancer du poumon.
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