Divulgation « des notes » de Diary Sow: Le Service de gestion des étudiants sénégalais à l'étranger dément… 89 clics Par rapport à la divulgation « des notes » de Diary Sow, le Service de gestion des étudiants sénégalais à l'étranger dément et appelle la presse à plus de rigueur, une « amie de Diary » informe qu'elle va bien et sauve… Depuis quelques temps, des articles sont publiés sur les notes qu'aurait obtenues l'étudiante Diary Sow au Lycée Louis Le Grand. « Le Service de Gestion des Etudiants Sénégalais à l'Etranger (SGEE) tient à démentir fermement de telles informations qui sont totalement fausses et appelle les organes de presse à plus de rigueur et de responsabilité dans le traitement de cette affaire », souligne le porte-parole du SGEE Emile Bakhoum. Selon lui, les autorités sénégalaises et françaises continuent de faire de ce dossier une priorité et le gèrent avec la plus grande exigence professionnelle que cela requiert. Mais en attendant, Le SGEE invite toutes les sénégalaises et tous les sénégalais à la retenue pour un aboutissement heureux des démarches en cours.

Service De Gestion Des Étudiants Sénégalais À L Étranger Stafe

Ces deux destinations accueilleraient environ 600 étudiants originaires du Sénégal chaque année. D'autres pays anglophones comme la Malaisie ont des politiques de recrutement très attractives pour les étudiants africains et ciblent de plus en plus les africains francophones. Des bourses sont offertes et des programmes structurés d'accueil des étudiants permettent de combler le manque de familiarité avec l'environnement. Comment mettre les meilleures chances de son côté? Ces propositions très intéressantes pour les jeunes en quête d'ouverture et de découvertes impliquent, pour pouvoir sortir de l'espace francophone, d'atteindre une maîtrise de l'anglais qui permette à l'étudiant de suivre des cours de façon satisfaisante mais aussi de connaître les possibilités d'orientation dans les grandes universités internationales, les subtilités des procédures d'admission et d'attribution des bourses. Une préparation dès avant le baccalauréat est souhaitable. C'est ce que va proposer, à partir de la rentrée prochaine, l'école Enko Dakar International School, école internationale proposant une formation bilingue français-anglais, ouvrant les portes des meilleurs universités internationales, et offrant les clés d'une vie universitaire réussie.

S'ils rêvent d'ailleurs, c'est aussi parce que « la montée de l'extrême droite en France fait planer un risque sur la poursuite d'études », lâche Rémy, l'étudiant en commerce. Tandis que Ndèye, déclare, avec une colère rentrée, qu'elle « ne comprend pas pourquoi nos prépas n'ont pas de partenariat en France avec des écoles d'ingénieurs publiques, bien moins chères. Ni pourquoi, dans certains cursus publics, il faut avoir la nationalité française pour être accepté ». Le protectionnisme et la méfiance qu'ils ressentent leur paraît sans raison d'être. Bien loin des craintes d'une immigration massive parfois exprimées en France, s'ils ambitionnent largement « un stage ou une première expérience à l'étranger », c'est pour mieux revenir, et mettre ce qu'ils ont appris au service de leur pays. « On ne peut plus dire que les difficultés de l'Afrique sont dues à la colonisation. Cela fait soixante ans que c'est fini. L'Afrique doit se réveiller. Et c'est de notre responsabilité d'y travailler », explique Ndèye.