« C'était très sexuel », a déclaré l'homme, qui n'a pas d'antécédent disciplinaire. Par ailleurs, il a avoué avoir été lui-même victime d'abus sexuels dans son enfance. « Quand j'ai reçu la plainte, je me suis dit que j'étais encore en train de me faire agresser. Elle baise avec son médecin conseil. » Le médecin, qui devait prendre sa retraite au printemps, a entrepris une thérapie. Le syndic a recommandé une radiation de cinq ans, la défense a suggéré une radiation d'un an.

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Ça ne m'appartient pas à moi seulement. " » La patiente a été suivie par ce médecin entre 1985 et 1987, en Outaouais. Selon elle, plusieurs gestes déplacés et relations sexuelles se sont produits, ce qu'a nié le médecin. La victime lui reproche de l'avoir embrassée lors d'une visite médicale et d'avoir mis sa main sur son pantalon. « Il avait une érection, il a descendu sa braguette, a-t-elle raconté. J'ai constaté qu'il n'avait pas de culotte. » Ils se sont vus pour la dernière fois en 1987, au domicile de la patiente. Une culotte spéciale pour aller chez le gynéco, ça vous dirait ? - Elle. Le docteur a avoué avoir eu une relation sexuelle cette fois-là. « C'est une invitation que je n'aurais jamais dû accepter, a-t-il témoigné. C'est une erreur de jugement. » « Nuage noir » Par la suite, la femme a vécu de durs moments et a tenté de se suicider, a-t-elle témoigné hier devant le Conseil. « Il y avait de la confusion, comme un gros nuage noir », a-t-elle dit. L'omnipraticien de Sherbrooke a peu de souvenirs des événements et dit qu'il ne croyait pas la patiente vulnérable.

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Alors que l'Ordre des médecins a (enfin) consenti à condamner et sanctionner tout acte à caractère sexuel entre un praticien et son patient, nos republions un témoignage de Marie (prénom modifié), rencontrée en mars 2018. Comment qualifier ce qu'a vécu Marie, tant le flou juridique est grand? Pendant trois ans, cette femme de 60 ans en grande détresse psychologique a été abusée sexuellement par le Docteur Z., le psychiatre qui la suivait. Marie, abusée sexuellement par son médecin : "Il me disait de l'appeler papa". Rien pourtant dans le Code de déontologie médicale n'empêche de tels faits. Avec le Dr Dominique Dupagne, médecin généraliste fondateur du forum et d'autres victimes, Marie, fer de lance du mouvement, se bat pour qu'un article interdisant explicitement aux praticiens toute relation sexuelle avec leurs patients soit ajouté au Code de déontologie. Pour lire la suite de cet article et accéder à l'intégralité de nos contenus. Je teste sans engagement ou Profitez de l'offre 1€ pour 3 mois avec Google En choisissant ce parcours d'abonnement promotionnel, vous acceptez le dépôt d'un cookie d'analyse par Google.

Des montées de tension puis une hospitalisation « J'étais perdue, poursuit-elle. Un jour il m'a embrassée, ouvert son agenda et fixé un autre rendez-vous. Comme ça. Je n'avais pas de sentiments pour lui, mais je le laissais décider pour moi. » Son corps l'alerte: elle fait des montées de tension jusqu'à être hospitalisée. Marie rencontre une psychologue à qui elle se confie et qui tranche: « Ce n'est pas normal et condamnable. » 24 novembre 2014, Marie porte plainte contre le médecin devant le conseil départemental de l'Ordre et refuse la conciliation proposée. Elle baise avec son médecin orl. Elle prend toute la mesure de « l'énorme trahison ». Sa plainte part au conseil régional de l'Ordre. Le psychiatre parle de « piège », c'est lui la victime et son avocat finit par s'appuyer sur l' absence d'article interdisant les relations sexuelles avec les patientes. La fragilité de la patiente connue Marie tombe des nues. « Comment? Cet article n'existe pas? » Dans ses attendus, l'Ordre régional donne raison à Marie: « Force est de constater que ce médecin a librement accepté d'entamer une relation intime avec une personne qui était sa patiente, dont il connaissait mieux que tout autre la fragilité psychologique, et sur laquelle il avait nécessairement une certaine emprise.