Né en 1938 à Lörrach, Hans silverster est un photographe allemand connu pour son engagement écologiste. Pendant 6 ans, il a photographié le peuple de la vallée de L'omo, des hommes, des femmes et des enfants vivant dans le sud de l'Ethiopie. Longtemps restée isolée du reste du monde, cette société nomade a conservé un mode de vie ancestral, proche de la nature, cultivant un gout pour la peinture corporelle et l'ornement floral. De ses voyages, il en a tiré plusieurs livres dont "Les habits de la nature", "Le peuple de L'omo" et "Pastoral africaine".
Saisissez cette opportunité de découvrir des merveilles hors du commun, des civilisations coupées du reste du monde. Allons-y maintenant! Découvert en 1967, ce site archéologique, inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, est un témoin vivant de l'existence des hommes préhistoriques. Les fossiles de l'un des tout premiers hommes de notre civilisation y ont été retrouvés. Des ossements des homos bipèdes, les fragments d'australopithèque vieux de 2 millions d'années, voire plus, ont été mis à jour par Camille et Yves Coppens. Ne ratez pas cette occasion de découvrir le lieu où les premiers hommes de la terre vécurent. C'est tout simplement excitant! Faites votre valise, il n'y a pas une minute à perdre. La vallée de l'Omo abrite quelques peuples étranges: le peuple Mursi et celui de Kara. Totalement détachée de toute civilisation, cette population constitue une curiosité pour tout le monde entier. Au 21 e siècle, une population qui est restée coupée de la technologie, de l'évolution des réseaux sociaux… de tout développement, c'est tout simplement excitant à voir!
C'est là-bas en effet que fut découvert en 1974 le squelette de Lucy, la grand-mère de l'humanité. Gardienne de notre histoire, la vallée de l'Omo est aussi la protectrice de nombreuses ethnies incarnant une Éthiopie plus confidentielle, particulièrement émouvante. À la rencontre des Mursi et des Konso Les premiers vivent dans le somptueux parc national de Mago, les seconds sur les hauts plateaux d'Éthiopie. La tribu nilotique des Mursi a longtemps été réduite au plateau labial dont se parent les femmes. Objet de curiosité photographié le plus souvent sans l'accord du sujet, il a occulté les autres rites et traditions de cette tribu. Plus à l'est, se déploie le pays Konso, qui témoigne de la façon dont l'homme a pu s'adapter à un environnement hostile, en sculptant des terrasses en pierre sèche et en édifiant des villes fortifiées. Forêts sacrées et sanctuaires émaillent leur territoire. Avec une culture fondée sur le respect des morts, les stèles anthropomorphes et les « arbres de génération » émergent du paysage comme autant d'alliances avec la nature.
La vallée de l'Omo Inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1980, la vallée de l'Omo en Éthiopie est un site préhistorique où de nombreux fossiles d'êtres vivants ont été découverts au fil du temps. Elle est peuplée par des tribus semi-nomades, dont les Hamers et les Karos. Le photographe Vincent Dirckx s'est rendu en Afrique de l'Est à la rencontre des hommes de la vallée de l'Omo pour nous livrer des portraits exceptionnels. Après une première série de portraits des femmes de la vallée de l'Omo, Vincent Dirckx nous présente en images les hommes du peuple éthiopien. Cherchant à voyager autant que je peux, je m'attache à capturer en images la multiplicité des cultures, les visages des habitants, la beauté des paysages et monuments qui nous entourent, se décrit l'auteur de ces portraits d'hommes dans la vallée de l'Omo en Éthiopie. Portraits en Éthiopie Avocat de profession, le photographe passionné basé en Belgique produit à travers les continents de magnifiques photographies et portraits du monde.
'Des conversations avec des organisations de la société civile en Ethiopie ont révélé que remettre en question les projets gouvernementaux était une démarche hautement périlleuse et aucune d'entre elles n'ose évoquer publiquement les dangers potentiels que représentent les barrages de crainte de la répression du gouvernement. ' Campagne pour la réforme de la Banque mondiale' Un expert de l'agence nord-américaine pour le développement international (USAID) qui s'est rendu dans la vallée de l'Omo en janvier 2009 pour évaluer les impacts du barrage Gibe III a rapporté que les communautés indigènes ne savaient rien ou quasiment rien de ce projet. Dans le but de limiter le débat sur les politiques controversées et de resteindre la sensibilisation aux droits de l'homme, le gouvernement a publié un décret en février 2009 statuant que toute ONG ou autre association à but non lucratif recevant plus de 10% de ses fonds de sources étrangères (ce qui est pratiquement le cas de toutes les ONG en Ethiopie) ne peut promouvoir les droits démocratiques et humains.
Avec cette dernière série de portraits réalisés en 2018, Dale Morris a voulu laisser une trace de ces populations et leurs coutumes dans nos mémoires.
Source Survival France Pour promouvoir et m'aider dans ce projet, La laverie Galerie, 113 rue des Dames 75017 Paris, expose mon précédent reportage "l'Agonie du Naga". Vernissage ce soir jeudi 5 juin, à 19h. l'Agonie du Naga est le premier volet consacré aux réfugiés du développement. Venez Nombreux!!! À quoi servira la collecteL'organisation et la réalisation de ce projet impliquent de nombreux frais (budget prévisionnel: environ 7200 euros), que j'espère pouvoir financer grâce au soutien de sponsors, mais aussi des mécènes d'un jour. La participation des Kissbankers m'est d'une aide précieuse; je compte sur vous!
Transport: > Vol Paris Addis Abeba: entre 600 et 950 € par personne ( tout dépend de la période) >location 4x4 plus guide/fixer: 190€ / jour soit 2660€ Logement et nourriture: 200 € /pers pour l'ensemble du reportage La participation des Kissbankers ne concerne que les frais du reportage.