8 milliards de dollars en bons du trésor et 2. 3 milliards de dollars contractés envers des pays étrangers et des institutions internationales en plus de 80 000 milliards de livres libanaises. L'annulation des obligations de l'état envers la BdL et les banques impactant les déposants Cette information intervient alors que le gouvernement Mikati III a décidé d'annuler les obligations de l'État envers la Banque du Liban lors de sa dernière session avant de devenir un cabinet démissionnaire. Liban Pick N°68 , Billet de banque de 500 Livres 1988 - Issoire philatelie. Cette annulation de la dette publique pourrait impacter négativement l'économie libanaise, la Banque du Liban, qui a prêté des devises étrangères étant elle même débitrice pour plus de 70 milliards de dollars envers les banques privées. Ainsi, elle serait de facto en faillite ou pourrait rembourser ces sommes en livres libanaises, augmentant ainsi la masse monétaire et ainsi l'inflation. Par ailleurs, le gouvernement a également annulé les obligations de l'État envers les banques qui lui ont prêté 14, 7 milliards de dollars américains et plus de 22 000 milliards de livres libanaises à 1507, 5 livres libanaises, ce qui est équivalent au capital des actionnaires des banques.

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Ainsi, des personnes utiliseraient ces comptes pour acheter des dollars sur les marchés parallèles puis les transféreraient à l'étranger via ce mécanisme, augmentant ainsi la pression sur la livre libanaise. 500 livres coin banque du liban. Il s'agirait notamment de commerçants qui utiliseraient le taux de change de Sayrafa sans importer réellement de marchandises au Liban comme prévu dans le cadre de ce dispositif, faute de contrôle. De la contrebande de devises étrangères serait également constatée en dépit de l'affaire Mécattaf via également des dollars achetés via Sayrafa ou encore le marché noir. Ainsi, si le financement des besoins essentiels du Liban est estimé à 7 milliards de dollars, ce n'est pas moins que 14 milliards de dollars qui ont été perdu par la Banque du Liban au cours des 3 dernières années à son seul niveau démontrant la nécessité de mettre fin aux transferts illégaux. Des réformes jugées insuffisantes Côté structurel, des sources proches du FMI jugent les efforts du gouvernement Mikati III insuffisantes, notamment sur le plan de l'électricité publique et l'échec à la hausse des prix de l'électricité ou encore pour la Banque Mondiale, l'absence de libéralisation de ce secteur.

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Dans le même temps, ses réserves de devises ont continué d'être rabotées et gravitent actuellement autour de 11 milliards de dollars (sans compter les 5 milliards d'eurobonds et les 18 milliards de réserves d'or). Signe que la stabilité affichée ces derniers mois était précaire, la livre n'a d'ailleurs pas cessé de glisser depuis janvier, après que la circulaire n° 161 est entrée en vigueur en janvier, ce qui a été accompagné par une baisse fulgurante du taux (qui passa alors d'un pic supérieur à 33 000 livres à moins de 20 000 livres en un peu plus de 15 jours). Pendant cette période, la BDL a continué à injecter des dollars pour payer les importations de blé (pour lesquelles le taux est subventionné aussi), le carburant et les demandes de retraits via les circulaires 161, mais aussi 158 (qui autorise des retraits de 400 dollars via des comptes en devises bloqués par les restrictions, plus le même montant en livres au taux de 12 000 livres, un dispositif valable jusqu'à fin juin au moins).

Les établissements locaux, déjà considérés comme de facto en faillite depuis l'instauration d'un contrôle informel des capitaux, sont donc désormais en grande difficulté en dépit d'une illusion de maintien depuis 3 ans. De facto aussi, ces annulation pour des sommes allant au total de plus de 90 milliards de dollars équivaudrait à presque la totalité des dépôts encore existants de la clientèle des banques qui pourraient aussi souffrir de cette décision. 500 livres Liban | Liban - Le catalogue Numizon. Pour sa part, le FMI estime que les banques dont les actions appartiennent à 43% à des personnes exposées politiquement et les gros déposants – qui prêtaient en connaissance probable de cause – devraient être les premiers à subir la répartition des pertes du secteur bancaire, ayant bénéficié durant des années d'importants intérêts et de dividendes. Il exigerait aussi la protection des petits déposants plus impactés par la crise économique actuelle. Si le précédent gouvernement Diab souhaitait que les comptes de moins de 500 000 USD puissent bénéficier de cette protection, désormais ce seuil aurait été revu à moins de 100 000 USD par le gouvernement Mikati.