Varda Étienne s'intéresse aux enfants dont les parents souffrent de maladie mentale dans la nouvelle série documentaire Au cœur d'une réalité trop longtemps ignorée: les enfants invisibles. Ses propres enfants y témoignent, mais aussi des personnalités, des anonymes et des spécialistes. Cette bouleversante série a été éprouvante à tourner, mais s'est avérée thérapeutique pour elle comme pour les personnes qui y ont participé. Donner la parole à ces enfants qu'on oublie souvent, c'était le souhait de l'animatrice Varda Étienne, elle-même mère de trois enfants et atteinte de bipolarité ainsi que d'un trouble de la personnalité limite. Ce sont les premières victimes collatérales du trouble de santé mentale de leur parent. [... ] Et on oublie de leur demander: "Comment tu vis ça? Comment vas-tu? Trois filles de leur mère. - Pierre Louÿs - Google Livres. ", explique-t-elle dans les premières minutes de cette série déclinée en quatre épisodes de 20 minutes. J'aimerais qu'on arrête de dire qu'on aime nos enfants au Québec, ajoute-t-elle, en entrevue à Radio-Canada.
Sur le même sujet Périgueux: il y a 78 ans, la rafle du Palace 211 Périgourdins arrêtés par la milice avaient été rassemblés dans cette salle qui était alors un cinéma, avant de partir vers le travail forcé ou les camps d'extermination. Une cérémonie se déroulera le 10 mai Réfugié politique, Santiago Sanchez Hernandez a fui l'Espagne durant la guerre civile pour rejoindre la France et plus particulièrement Périgueux. Journaliste, il était devenu un ennemi du gouvernement de l'autre côté des Pyrénées. Avec sa femme Trinidad, ils s'étaient installés en Dordogne pour échapper au conflit, mais la Seconde Guerre mondiale les a rattrapés. Un gars à une fillette de 11 ans: "suce-moi...". Une rafle soudaine Le 10 mai 1944, alors qu'il rénovait les routes près de la gare de Périgueux, il a été emmené au Palace, rue Bodin. Une fois arrivé, il a été catalogué comme étant un communiste et enfermé au deuxième étage de l'ancien cinéma, tout comme 210 autres Périgourdins. Une période sombre pour Conchita Martinez, sa fille, alors âgée de 3 ans: « Je me souviens que des femmes montaient sur de grands camions blancs devant le Palace pour donner à manger et des couvertures aux hommes enfermés au deuxième étage.
Publié sur le site USA Today (que vous pouvez lire ici en version originale), nous apprenons que les parents de la jeune femme s'appellent Dathan et Miramir. La mere et la fille me sucré salé. Voilà qui répond à ce point d'interrogation qui perdurait depuis la conclusion de la saga Skywalker. Les parents avaient été vus et été incarnés par Jodie Comer et Billy Howle. On sait donc désormais comment les appeler! Le roman Star Wars: Shadow of the Sith sortira le 28 juin prochain.
Puisque dit-il « quand j'ai vu le gars s'approcher d'elle, je n'ai pas cessé de les surveiller, c'est ainsi que je me suis approché dès qu'il a touché sa braguette…En me voyant, elle a pris de l'assurance et l'a insulté… ». L'homme ayant fui, les enfants sont rentrés chez eux».