Nos amis sud-coréens savent faire de très bons films et ils nous le prouvent très souvent avec des métrages sans concessions, violents et dénonçant assez vivement des problèmes récurrents comme la politique ou encore la différence sociale. En général, que l'on aime ou que l'on déteste, on est bien obligé de reconnaître que chaque film a fait parler de lui et qu'ils possèdent une aura bien particulière. On a eu The Host, The Chaser, ou encore j'ai rencontré le diable, qui à leur manière ont fait parler d'eux et prouvent bien que le cinéma de Corée du Sud est en pleine expansion. Critiques du film Terreur dans la tempête. Antarctic Journal est sorti en 2005 et il rentre dans la catégorie des films bizarres, oscillant entre deux genres et ne trouvant pas vraiment sa voix. Si certains le considèrent comme un bon film, je dois bien confesser que je n'ai pas apprécié et que le film m'a semblé durer une éternité. Alors pourquoi j'ai trouvé ce film ennuyeux? Qu'est-ce qui a fait que je n'ai pas accroché? Arpentons les terres glaciales de l'Antarctique et tentons de découvrir les raisons de ma déception.

Terreur Dans La Tempete Critique La

12 x 18, 5 cm | 280 p. Antarctic journal | La critique sur Horreur.net. | 14 euros isbn 9782915830163 En 1921, Victor Serge écrit qu'« il n'est pas de force au monde qui puisse endiguer le flot révolutionnaire quand il monte, et que toutes les polices, quels que soient leur machiavélisme, leurs sciences et leurs crimes, sont à peu près impuissantes… » – Voire. Mais quand l'Histoire, pour l'essentiel, est devenue l'histoire des sciences et techniques, la moindre des choses est d'examiner en quoi celles-ci affectent les anciennes vérités. C'est ce que ce livre s'applique à faire en cinq généalogies qui remontent et démontent l'enchaînement de nos désastres: inventions de la Théorie du complot, du sécuritaire, du contrôle, de la possession technologique, via dispositifs et implants corporels, afin de nous priver de notre libre arbitre au sens le plus physique et matériel, et d'aboutir à la « Société de contrainte » ou techno-totalitarisme.

Non, je parle d'autres choses. Pour rester sur son actrice principale, c'est étrange de voir comment le réalisateur demande à Taylor de surjouer, de jouer la Taylor mode "hystérique" (et Taylor sait très bien jouer les filles en panique sans surjouer comme elle le fait dans ce film, dans Soudain l'été dernier de Mankiewicz elle est excellente), et de laisser les autres personnages dans une sorte de calme - pour ne pas dire de transparence - de chaque instant. Cette hystérie démesurée de la performance de Taylor est un peu ce qui habite le film à mon avis, qui est transcendé par des moments où tout d'un coup tout ce que le film nous avait habitué à voir est perturbé par des éléments - et c'est bien sur ça que je veux insister. Terreur dans la tempete critique la. Un autre exemple, le film d'horreur ne montre absolument rien pendant 1h30. En gros on ne voit rien, on ne sait rien, il ne se passe rien ou du moins rien de visible. Et y a une séquence où la violence surgit brutalement, de façon soudaine, inattendue et de façon déchainée.