Sur dix ou vingt pages de photos banales Bilan sans mystère d'années sans lumière, oh! Pour attirer les moineaux, les pigeons, oh! Pour attirer les moineaux, les pigeons, oh, oh!

Jean-Jacques Goldman : La Vie Par Procuration (1985)

Auteur: Jean-Jacques Goldman Compositeur: Jean-Jacques Goldman Editée par: J. R. G. / N. E. F. Marc Lumbroso Version originale Année: 1985 Interprétée par: Jean-Jacques Goldman Distribuée par: C. B. S. Année Interprète Support Référence Pochette 1985 Jean-Jacques Goldman LP Non Homologué EPC 25 678 LP Non Homologué (Canada) PFC 90 932 non disponible.

La Vie Par Procuration - Jean-Jacques Goldman: Paroles Et Traduction - Beatgogo.Fr

L'artiste déclare même qu'il a une admiration pour ces femmes-là qui « préfèrent vivre pour plus tard ». Les sonorités de la chanson sont dans un univers de pop rock. Jean Jacques Goldman se considère comme un chroniquer, qui ne raconte pas des scènes fictives mais décrit la société à sa manière, ceci s'entrevoie également sur la chanson « Elle a fait un bébé toute seule » qui raconte la vie d'une famille monoparentale.

Jean-Jacques Goldman - La Vie Par Procuration Paroles

Sur dix ou vingt pages de photos banales Bilan sans mystère d'années sans lumière. Pour attirer les moineaux, les pigeons.

Plusieurs chansons de Jean Jacques Goldman racontent une certaine passivité féminine. Celle de l'attente, d'une oisiveté mélancolique et d'un lendemain identique à un hier. En effet, les titres: « Elle attend », « En entendant ses pas » mais aussi « La vie par procuration » ont une âme commune. « La vie par procuration » est une chanson qui est apparue en 1986 sur l'album « En public » qui n'est pas un album studio mais un album live. L'album fut un véritable succès, plusieurs tubes classiques de Jean Jacques Goldman y figurent, le single « la vie par procuration » a réalisé 500. 000 disques vendus. Jean-Jacques Goldman : La vie par procuration (1985). Jean Jacques Goldman raconte par le biais de cette chanson, le quotidien d'une femme qui vit une vie loin de la réalité. Sans amour, ni objectif ni vie sociale. Elle se nourrit des événements qui passent à la télévision, et elle a comme seule compagnie les moineaux et les piégeons. Il s'agit d'une solitude qui prend aux tripes, qui rend l'humain dépourvu de toute joie mais qui pourtant continue de vivre ainsi.