Critique de Le chercheur d'or par Lilou789 (Babelio) Une écriture lumineuse qui tout de suite nous emmène dans un univers singulier, chaud, humide, aux saveurs de souvenirs d'enfance. Une histoire de quête, comme un long cheminement initiatique. Des cir... Lire la critique complète >
Critique de Le chercheur d'or par Tandarica (Babelio) Encore une invitation au voyage pour aujourd'hui. C'est un voyage initiatique lu il y a une bonne dizaine d'années, celui d'Alexis qui découvre au bout du chemin la véritable raison de sa quête: son...
Critique de Le chercheur d'or par Machamaricha (Babelio) Le Chercheur d'or est un roman écrit par Jean-Marie Gustave Le Clézio inspiré d'une quête chimérique, celle de son grand-père, parti à la recherche du trésor d'un corsaire sur l'île de Rodrigues. Le r...
Critique de Le chercheur d'or par Jeff_freemind83 (Babelio) L'histoire de ce grand-père est, à l'image de celle du père, médecin de brousse, l'une des routes que Le Clézio empruntera souvent de manière assumée comme ici ou plus discrète, au fil de ses textes,...
Critique de Le chercheur d'or par Arjay (Babelio) Ce livre faisait partie de mes lectures obligatoires pendant mes classe préparatoires sur le thème de "la recherche du bonheur".
Le narrateur trouve dans le modeste navire un objet qui symbolise le sacrifice et le danger inhérent au travail des marins. La portée symbolique du bateau chez le narrateur, comme la madeleine de Proust, à pour fonction de ressusciter ses souvenirs. Cette nostalgie est rythmée par des dates et des lieux précis qui contribuent à l'effet du réel ou de vraisemblance. Dès le début de cet extrait, nous constatons la récurrence de plusieurs indices spatio-temporels qui donnent une harmonie et un enchainement rigoureux aux évènements: « dimanche matin », « dès l'aube », « vieille maison », «F orest Side », « Port Louis », « la mer ». Ces repères nous permettent de suivre de près l'itinéraire de cet enfant. Le caractère autobiographique de ce passage s'affirme à travers les indices de la première personne «je» et des adjectifs possessifs « ma », « mon »; accompagnée des verbes d'actions « sorti », « pris »etc. Nous pouvons déduire qu'il s'agit d'un roman à narrateur unique. Ajoutant qu'à travers l'oeil enfantin, la description du bateau intégré dans le paysage est de nature variée à savoir: la description mimésique (couleurs:« coque noire » et « voiles blanches »; les formes, détail du siège de « Capitaine Bras-de- Mer »…) et d'un lexique maritime ( voile, chasse marée auriques, hunier, beaupré…), donne à cet objet une étrangeté en lui accordant une fonction symbolique du navire de son rêve.