Didier Nieto «Méfiez-vous des blondes, certaines ont des couilles. » La mise en garde émane de Barrigue. Elle conclut la préface qu'il a écrite pour le premier recueil de dessins de presse de Caro. «C'est un immense compliment, ça veut dire que j'ai le courage de dessiner mes idées», confie l'illustratrice de Nidau. L'ouvrage, sorti cette semaine, compile les «meilleurs dessins» de Caro publiés depuis 2009 dans le journal satirique Vigousse. La septantaine d'images évoque l'actualité suisse et internationale de ces dernières années – de la votation sur le RIE III à l'élection de Donald Trump en passant par la crise des réfugiés. «Je ne m'interdis aucun sujet. Tout est illustrable et je peux rire de tout. Mais j'ai quand même une préférence pour les thèmes de société, comme la famille ou le boulot. » Depuis mercredi, Caro – Caroline Rutz de son vrai nom– dédicace son ouvrage au Salon du livre, qui se tient jusqu'à demain à Genève. «Les gens me demandent souvent d'où viennent les idées, raconte-t-elle.

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La presse, principalement la presse à scandale, joue également un grand rôle dans la diffusion du stéréotype en publiant régulièrement les frasques des « bimbos » [ 13]. Notes et références [ modifier | modifier le code] ↑ (en) Regenberg, Nina (2007), « Are Blonds Really Dumb? », in Mind (magazine) (3) ↑ I'm not offended by dumb blonde jokes because I know that I'm not dumb. I also know I'm not blonde. (en) The new blonde bombshell, The Observer, 29 July 2001 ↑ Jean-Guillaume Brasseur, « Les blondes sont mieux payées que les autres femmes », Le Figaro, ‎ 8 avril 2010 ( lire en ligne) ↑ « Les BTS visitent l'exposition "Cheveux chéris" à Daoulas », sur ↑ « Pourquoi dit-on que les rousses sont des sorcières? », sur ↑ « Mythes et réalités des blondes », sur ↑ « Les blondes plus agressives que les brunettes? », sur ↑ « Top 10 des choses à savoir sur les blondes », sur ↑ (en) Victoria Sherrow, Encyclopedia of Hair.

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- Gloss (Kryolan): 16 €. Encore une marque inconnue (je m'attends à me faire lyncher mais j'assume! ). Je l'ouvre: surprise. Un gloss ROUGE vif. Bien niveau de la qualité rien à dire, mais la Pas pour moi! - Vernis (Nails Inc. ): 14 €. Des vernis c'est bien connu on en n'a jamais assez! Je teste sur un ongle si transcendant que çmmage! - Palette (NYX Cosmetics): 12 €. Très sympa! Surtout la présence d'une base et de gloss en plus des fards. A essayer! Seulement vu ma fidélité aux palettes Nacked, ça va être un peu compliqué... - Cheek and Lips (ModelCo): 18, 50 €. Je ne sais pas comment on appelle ce genre de produit, c'est un blush gel pour rehausser les joues et les lèvres. (comme le Benetint de Benefit). A essayer... - Trousse doré Glossy Box Aperçu de la palette NYX. Dans cette box on en a donc pour 75, 50 € de produits, sans compter la trousse et les faux cils. Autant dire qu'ils se sont pas foutu de notre gueule! J'étais très contente en découvrant les produits. Avec du recul, j'ai un avis beaucoup plus mitigé.

Dans la plupart des cultures des pays d' Europe de l'Ouest, les cheveux blonds symbolisent la sainteté (les anges blonds) et les enfants (les « chères têtes blondes »). Comme il n'est pas rare qu'en grandissant les personnes nées blondes voient leurs cheveux s'assombrir, il se peut que le blond ait été associé symboliquement à l'enfance, la jeunesse et donc par extension, la naïveté et le manque d'intelligence. En outre, la relative rareté des cheveux blonds (environ 10% de la population en Europe de l'Ouest) a pu faire que les enfants blonds aient été souvent admirés et que peut-être certains, pour attirer davantage l'attention, aient pris un comportement enfantin, ce qui aurait pu contribuer au mythe. Mais il est possible que ce stéréotype ait des origines bien plus anciennes: les Romains et les Grecs étaient fascinés par la couleur des cheveux des Celtes et des Nordiques et cherchaient à en imiter la teinte rousse et leur souplesse. Ceux de la région méditerranéenne se teignaient souvent les cheveux, et les courtisans haut placés achetaient des perruques faites de cheveux d' esclaves germains et celtes.