pote.. Putain chuis dans une merde pas possible... J'allais chez mon pote avec lui ce matin, on rentrait de soirée et tout. Donc on arrive, on rentre, je dis bonjour à sa mère, son père était pas là. Sa mère, une grande brune d'environ 1 m 75, 45ans mais elle en fait 30, des seins superbes, très belle. Il se tape la mere de son potes. Elle nous prépare un petit truc vite fait car on avait la fonsdalle (putain sa mère en plus d'être divinement bonne est un super cordon bleu) et là il se rend compte qu'il a oublié son phone chez notre pote chez qui on a passé la soirée, donc il y va et tout. Et là, je me retrouve seul à seul avec sa mère... Elle me chauffe, elle se penche exprès pour que je mate son décolleté, elle fait genre "Oups, j'ai fait tombé de l'eau sur mon haut, hihihi" Putain, je bandais comme un âne en imaginant des scénarios de cul dans ma tête avec ma petite amie et tout, et elle a cramé que j'avais la gaule.

Il Se Tape La Mere De Son Porte Blindee

— Je n'ai rien à vous rendre, protesta le bonhomme. — Soit! fit Jean. Alors, bâton, tape! » Aussitôt le bâton s'abattit sur les épaules de l'aubergiste. Bang! Bing! Pan, pan! L'aubergiste se sauva en se lamentant et en criant: « Arrêtez! Arrêtez votre bâton! » — Pas tant que vous ne m'aurez pas rendu la nappe de mon frère », répondit Jean. Le corps meurtri, l'aubergiste sortit enfin la nappe blanche du buffet et la donna à Jean qui arrêta son bâton. Puis, le jeune homme s'en alla sur le chemin. Mais, le soir même, le voici de retour demandant asile pour la nuit. Et le lendemain matin, il dit à l'aubergiste: « Maintenant, rendez-moi la poule que vous avez volée à mon frère. — Je n'ai pas volé de poule! protesta l'aubergiste. — Si vous ne me la rendez pas, je vous fais cogner par mon bâton. — Non, non! Je n'ai pas ta poule! » hurla l'aubergiste en se sauvant, car il avait très peur des coups de bâton. IL PÉCHO LA MÈRE DE SON MEILLEUR POTE - YouTube. Jean lança: « Bâton, tape! » Le bâton courut après le bonhomme, lui sauta sur le dos et lui tapa sur les épaules.

Il marcha longtemps et finit par s'arrêter pour dormir à l'auberge où son frère Pierre avait fait halte. Il monta à sa chambre et dit à sa poule: « Poule, ponds-moi de l'or! » Et la poule pondit trois œufs d'or. Pour payer sa dépense, il en donna un à l'aubergiste qui eut des doutes sur sa provenance. Durant la nuit, ce dernier alla dans la chambre où dormait son client, vit la poule et la vola. Il la remplaça par une autre en tout point semblable. Le lendemain, Jacques arriva à la maison tout joyeux en disant: « Voyez ma jolie poule; elle pond de l'or! Regardez bien! » Il posa sa poule sur la table et dit: « Poule, ponds-moi de l'or! » Tout ce que fit la poule ce fut de branler la tête et de chanter: «Caque-caque-canette. » Jacques était bien peiné. Il s'écria: « Ah, c'est le vilain aubergiste qui m'a volé ma poule! » Alors, Jean, le plus jeune des trois frères, dit: « C'est à mon tour de tenter ma chance. Il se tape la mere de son porte blindee. Je pars chercher fortune. » Comme ses frères avant lui, il marcha, marcha sur le chemin.

Monographie de référence: dix ans d'expérimentation jubilatoire et virtuose avec la peinture, entre figuration et abstraction, une réflexion sur l'imagerie contemporaine développée en quelque 200 œuvres organisées par séries (les jets d'encre et les silver paintings, les pages de magazines et les scènes de films, les paysages et les maisons en feu, les filles... ). Disponible en édition de tête avec une gravure insérée signée par les artistes. Depuis le début de leur œuvre commune au début des années 2000, les peintures d'Ida Tursic et Wilfried Mille (nés en 1974 respectivement à Belgrade et à Boulogne-sur-mer, vivent et travaillent à Dijon) interrogent, à travers la question de la peinture, de son support et de son sujet, celle de la reproduction du réel, de la circulation de ses représentations et de la production du fantasme. Leurs peintures, leurs aquarelles et leurs gravures « recyclent », généralement en séries, des images préexistantes extraites de magazines, de films, de sites internet ou d'autres médias.

Ida Tursic Wilfried Mille

L'art de Tursic & Mille est de ceux qui veulent se confronter à l'histoire. L'histoire de la peinture, bien sur, celle – en dépit de Manet et Seurat – du XXème siècle essentiellement, de Pablo Picasso à Christopher Wool. Cela semble follement ambitieux mais c'est au fond la seule façon de faire. C'est la grande singularité de la peinture de Ida Tursic et Wilfried Mille: elle n'a pas recours au cynisme qui prétend à la fin de l'histoire pour excuser la désinvolture. Elle semble se nourrir de celles qui les ont précédées – pas toutes, fort heureusement, mais celles, justement, qui elles aussi voulaient se confronter à l'histoire. Bref, elles veulent en découdre, en tous cas dialoguer, ou plus exactement s'exposer au dialogue. Elles lorgnent manifestement vers l'histoire mais leur champ de vision se déploie jusqu'au présent: là est d'ailleurs leur point focal. Lors d'une conférence qu'ils donnèrent au Collège de France, à Paris, le 31 octobre 2014, ils dirent notamment « Nous constituons une énorme banque de données, rangée tant bien que mal, qui avoisine aujourd'hui les 140.

» On peut faire dire ce qu'on veut à ces photos: on pourrait ainsi disserter sur le hasard de la vie qui a amené ces deux trajectoires à se croiser aux beaux-arts de Dijon, elle travaillant sur des clichés de mode, lui à partir d'images pornographiques, et à fusionner en 2000 leurs activités, à faire couple dans la vie et dans l'oeuvre. Mais on pourrait aussi y voir les deux grands symptômes psycho-biographiques de leur peinture: le sourire et la réticence. Car il y a de fait chez eux une sorte de bienveillance presque générationnelle à l'égard des images qu'ils choisissent et retraitent, une façon de les accepter toutes sans hiérarchisation, qu'elles viennent de l'internet, du cinéma d'Antonioni ou de vulgaires sites pornos. Portées sur la toile avec virtuosité, il s'agit même de les faire jouir, de faire exploser leurs couleurs, de les pousser à leur plus haut degré d'intensité, voire d'incandescence, à l'image des maisons ou des paysages en feu qu'ils peignent régulièrement. Mais à l'opposé, il y a également chez eux une réticence, un doute critique face à l'image: pur fake, leurre, simple signe sans autre réalité derrière.